hohoho, c’était bien.

L’odeur du pain d’épices, le froid qui gèle le bout des doigts, les cadeaux à emballer, les repas à partager, les promenades avec ou sans rayon de soleil, le pop d’une bouteille qui s’ouvre et qui appelle au rassemblement, les piles d’assiettes, les verres qu’on compte, les jeux, les siestes au milieu de tout le monde, les rires, les réveils matinaux pour regarder le soleil pointer son premier rayon, l’odeur du premier café, les réveils des uns et des autres qui s’égrènent au fil de la matinée, retourner sous la couette, bouquiner, entendre le bruit de la maison qui monte, redescendre, profiter de tout .

Quelle était bonne cette parenthèse de Noël. Joyeuse à souhait, conscients plus que jamais sans doute de toute sa valeur et de l’importance d’être là, ensembles.

Alors avec bonheur, j’ai foulé le chemin, retrouvé le cœur battant les gens que j’aime, renoué avec les mille et un détails d’une maison qui m’avait beaucoup manqué, senti, humé, respiré, contemplé et ri, beaucoup ri.

Merci. Yala la famille!